chouette c est la rentrée pleure pas maman
Leweek-end suivant, Imanol rejoindra les auteurs participant pour la 9ème fois consécutive à ses fameux 24 Hour Comics Day, dont tous les détails sont indiqués sur l'affiche ci-dessous : Ce marathon de la BD se déroulera cette
Lejour de la rentrée, il pleure et crie ‘je veux pas aller à l’école ’. Après quelques larmes, il fait plein de chouettes choses, sa journée se passe bien et il se rend compte que c’est vraiment chouette, qu’on fait beaucoup de chouettes choses à l’école. Du coup, le soir, quand c’est l’heure de retourner à la maison il ne veut plus rentrer 😉. La couverture : Le
Chapitre3: La montre. Hier soir, après ma rentrée de l’école, un facteur est venu et il a apporté un paquet. pour moi. C’était un cadeau de Mémé. Un cadeau terrible et vous ne devineriez jamais. ce que c’était: une montre-bracelet ! Ma mémé et ma montre sont drôlement chouettes, et les copains vont faire une drôle.
ChouetteC'est la rentrée ! Publié le 5 Janvier 2014 Je suis contente de vous retrouver après ces fêtes de fin d'année. Une nouvelle année commence avec des nouvelles chorées et la reprise de certaines. Voilà la playlist, j'espère qu'elle vous convient. Je vous attend pour ZUMBER avec impatience
Avecla longue vue on peut regarder la maison des voisins. C’est bête parce qu’il ne se passe pas grand chose. Juste les chats qui sortent et rentrent et parfois le voisin et la voisine qui vont faire les courses. Là c’est chouette, on peut les regarder avec la longue-vue. Maman est grognon, elle aime pas qu’on soit collé à la
Rencontre Entierement Gratuite Pour Les Hommes. RENTRÉE SCOLAIRE - Cher enfant, si tes parents sont stressés parce que c'est la rentrée, rassure-les en leur rappelant tous les bons moments que vous avez partagés en vacances. Keep cool! La rentrée n'est jamais que le jour qui suit la fin des vacances. Caiaimage/Paul Bradbury via Getty Images Mother holding hands with son on ledge Caiaimage/Paul Bradbury via Getty Images Cher enfant, Tu n'as pas encore vraiment conscience de ce que cela veut dire. Eh oui! Tu ne sais pas encore qu'il existe des échéances et tu n'as aucune idée qu'il y aura plein d'autres rentrées encore. Tant mieux ! Mais tes parents, si! Ils ont certainement dû essayer de te coucher plus tôt depuis quelques jours en te répétant que "c'est bientôt la rentrée, tu es grand maintenant et l'école c'est super mais c'est sérieux, il faut reprendre le rythme". Mais toi, tu t'en fiches puisque pour toi, c'est encore les vacances jusqu'au 1er septembre et que chaque matin est un nouveau matin. Bien sûr, le premier jour, tu verras certainement ta maman verser une larme et ton papa déglutir pour ne pas pleurer mais ne t'inquiète pas, c'est normal, c'est leur première rentrée en maternelle en tant que parents. Les années suivantes, ça ira mieux. Tu as quand même dû remarquer que tes parents sont un peu stressés depuis quelques temps. Tu les as peut-être entendu dire pendant l'apéro sur la terrasse des vacances "J'espère que ça va bien se passer, qu'il va avoir une bonne maîtresse on dit maitresse même si c'est un monsieur qui fait la classe et qu'il va savoir lire vite". Ils vont peut-être même essayer de te coucher plus tôt mais "c'est pas juste, c'est les vacances!". Oui, mais pour eux, les vacances sont finies et ils ont déjà dû retrouver leurs collègues en faisant un peu la grimace. Mais toi, tu t'en fiches puisque pour toi, c'est encore les vacances jusqu'au 1er septembre et que chaque matin est un nouveau matin car tu es un enfant. Donc, pas d'inquiétude, car tu sais que tu retrouveras des copains et qu'entre deux lectures, il y a les récrés qui t'apprendront à découvrir les autres. Et puis savoir bien lire, comme tu le sais, se fait jusqu'en fin de CE1. Rappelle-le à tes parents qui s'angoissent trop facilement. Le premier soir, ils te demanderont déjà si tu as des devoirs mais t'inquiète, c'est normal, c'est leur première rentrée de parents en primaire. Les années suivantes, ça devrait aller mieux... ou pas. Tu as dû noter une fébrilité grandissante au fil des vacances. Les parents sont comme ça. Ils ont du mal à se relaxer vraiment sauf quand c'est la soirée sangria-lambada et, alors qu'il fait beau, chaud et que les vacances se passent tranquillement, ils vont par moments, absolument inattendus et totalement hors contexte, te faire toute une déclaration sur la 6ème qui est "dure parce qu'il faut s'organiser et qu'il ne faut pas manquer le coche sinon après c'est plus difficile de rattraper les lacunes et blablabablaba.." T'inquiète, c'est ce qu'on appelle l'anticipation anxieuse. C'est normal, c'est leur première rentrée de collégien-parents. Et comme ils écoutent les informations tous les jours, ils ont vraiment peur de faire mal et de te faire "louper ton avenir". Mais toi, tu n'es pas concerné parce que tu es encore un enfant, que ton cortex pré-frontal est en cours de développement et que tu fais confiance à la vie. Tu as parfaitement raison ! L'entrée au collège, c'est comme la vie, ça se construit jour après jour en gardant confiance, en savourant les réussites et en affrontant les difficultés. Certainement pas en anticipant un "pire du pire" qui n'arrivera pas. Tu sais très bien que le réveil à 7 h te remettra tout seul dans le rythme sans que tes parents aient besoin de te le rappeler. Ca s'appelle le principe de réalité mais tu le connais déjà depuis longtemps! Alors, si tes parents sont stressés parce que c'est la rentrée, rassure-les en leur rappelant tous les bons moments que vous avez partagés en vacances, les rigolades, les glaces, les parties de ballon dans l'eau, la crème solaire dans leur dos, la soirée sangria et lambada... Tous ces souvenirs et ces expériences que vous vous êtes construits ensemble et qui t'aident à grandir au jour le jour. Au besoin sors l'album photos pour réactiver leurs souvenirs et continuer à faire vivre la douceur des vacances. Keep cool! La rentrée n'est jamais que le jour qui suit la fin des vacances. Aider les parents à suivre - Aux Etats-Unis les Parent Academy Programs sont des cours de mise à niveau dans diverses matières ainsi que sur le fonctionnement du système scolaire. Ils sont proposés aux parents dans l'école fréquentée par leurs enfants afin de répondre aux besoins de parents qui peuvent avoir besoin d'aide pour mieux les accompagner dans leur scolarité. De l'aide à domicile pour... les parents - En Israël, également pour aider les parents à mieux soutenir leurs enfants dans leur scolarité, des parents-formateurs viennent par ailleurs aux domiciles des parents pour leur donner des conseils, proposer des exercices pratiques d'apprentissage à réaliser avec leurs enfants etc. dans le cadre du programme HIPPY. L'avantage de ces parentsformateurs est aussi de mettre en confiance les parents, de les mettre plus à l'aise. Créer du lien autour de la lecture - Proposer des activités ludiques en marge de la scolarité qui permettent aux parents et à leurs enfants de développer leurs liens, tout en étant l'occasion de conseils et d'échanges entre parents, est un autre exemple de soutien à la parentalité pertinent. Ainsi, au Québec, des écoles organisent des Soirées de gars » où seuls les pères accompagnés de leurs fils sont invités à se retrouver autours d'activités de lecture. Des centres de documentation pour les parents - Pour faciliter l'accès aux initiatives de soutien, des écoles américaines mettent en place dans leurs locaux des Family Resource Centers bureaux des parents où les parents peuvent demander conseils et être orientés vers des services plus spécialisés. Également pour faciliter l'accès, et également aux États-Unis, des entreprises proposent à leurs employés des programmes de soutien à la parentalité lors de leur pause-déjeuner Talking Parents, Healthy Teens. Former le personnel encadrant à répondre aux parents - Des pays comme le Danemark ont plutôt choisi de former les personnels des services de santé et d'éducation pour que ceux-ci puissent répondre aux questions des parents en matière de parentalité. D'autres initiatives, comme celle de la Ville de Toronto Toronto First Duty, au Canada, ou comme le Harlem Children's Zone aux États-Unis, regroupent dans des centres, de façon très intégrées, plusieurs services destinés aux familles comme les services de garde, d'éducation, de soutien à la parentalité, de santé etc. Aider les parents à suivre - Aux Etats-Unis les Parent Academy Programs sont des cours de mise à niveau dans diverses matières ainsi que sur le fonctionnement du système scolaire. Ils sont proposés aux parents dans l'école fréquentée par leurs enfants afin de répondre aux besoins de parents qui peuvent avoir besoin d'aide pour mieux les accompagner dans leur scolarité.
Publié le 1 septembre 2010 par isa AUTEUR ANNE-SOPHIE j'ai trouvé ce petit poème sur moustache je sais pas si cela t'interesse peut être plutot MS/GS; je le trouve rigolo Chouette, c'est la rentrée Pleure pas maman D'accord, je suis grand Mais pas assez Pour m'en aller Sans t'embrasser D'ailleurs tu sais Je reviendrai Dès que je pourrai Allez bisous Et tiens le coup, C'est la rentrée Faut t'habituer! Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous
Je veux pas aller à l’école Loto A imprimer puis à plastifier. Découper les cartes en fin de pdf. Les planches du loto Les pions du loto loto simon Je veux pas aller à l’école C’est la veille de la rentrée et Simon a une nouvelle réplique préférée. Quand sa maman lui dit Tu vas aller à l’école», quand son papa lui promet Tu vas apprendre l’alphabet», Simon prend un air effaré et grognon et il crie Ça va pas non!» C’est le jour de la rentrée et Simon ne veut pas y aller. Mais une fois sur place, après avoir un peu pleuré, il s’aperçoit qu’on fait plein de choses formidables à l’école. Alors, le soir, quand la maîtresse lui dit qu’il faut partir, savez-vous ce qu’il répond? Les élèves adorent cet album, avec cette phrase répétitive Ça va pas non!» qu’ils disent en chœur dès que la réplique arrive.
C’est la rentrée… et tout va bien se passer ! Étape charnière de la vie de notre enfant, l’entrée en maternelle marque le début de sa vie de “grand”. Pomme d’Api est allé à la rencontre des principaux acteurs de ces premiers jours. Ils racontent et nous donnent quelques conseils pour amorcer en douceur ce grand changement. Alix, parent d’élève Maman de Marceau 6 ans, Camille 4 ans et Quitterie 18 mois, Centre-Val-de-Loire Pour moi, la priorité est de faire confiance aux membres de l’équipe éducative. Lors d’une première rentrée, je n’arrive pas en me disant “Ils ne vont pas savoir gérer mon enfant”. C’est leur métier, pas le mien, et si l’enseignant dit qu’il ne faut pas que les parents restent plus de dix minutes dans la classe, il a ses raisons. Des rentrées, il en a fait bien plus que moi ! Avant le premier jour, j’évoque évidemment l’entrée à l’école, mais en “dosant”. Marceau, l’aîné, était très demandeur, on a regardé beaucoup de livres ensemble. En revanche, j’ai vite senti que ça n’intéressait pas beaucoup Camille. Je n’ai pas insisté, parce que je me suis dit que cela pourrait l’angoisser plus qu’autre chose. » On laisse son “bébé” Une première rentrée, c’est émouvant pour le parent. On laisse son “bébé” chez les grands. J’ai versé ma petite larme, mais c’est chouette aussi de le voir avec d’autres enfants. Côté cantine, il me semble que les choses se sont bien améliorées depuis quelques années. Alors qu’à mon époque, on nous forçait à finir notre assiette, désormais, on leur demande au moins de goûter au plat. C’est aussi un temps où ils peuvent parler plus librement avec leurs copains. D’ailleurs, concernant le fait de parler, il faut se faire à l’idée qu’ils ne racontent pas forcément ce qui se passe à l’école. C’est un peu frustrant. Il faut en prendre son parti et les laisser venir. Car plus ils grandissent, plus ils en disent. Une chose est sûre si la maîtresse ne dit rien, c’est que tout va bien ! » Christine, enseignante En classe de petite-moyenne section, Île-de-France Le jour de la rentrée, nous laissons les parents entrer en classe avec l’enfant. J’accueille mes élèves avec l’Atsem Agent Territorial Spécialisé des Écoles Maternelles et nous donnons à chacun un collier avec son prénom. Cela me permet dès le départ de créer un lien avec eux. Je me présente et je leur désigne leurs portemanteaux. Cela leur montre qu’il y a une place pour eux à l’école, qu’ils y sont attendus. Et aux parents aussi ! Car la rentrée est souvent plus difficile pour eux que pour les enfants ! D’ailleurs, si j’ai un conseil à donner, c’est celui-ci le premier jour, une fois que vous avez décidé de quitter la classe, ne traînez pas ! Votre départ ne doit pas durer des heures. Le pire étant de rester derrière la vitre. Moi, en soi, cela ne me gêne pas, mais pour l’enfant, c’est compliqué. Il se sent pris dans un conflit de loyauté, cela l’empêche de venir vers nous. Aussi, mieux vaut se prévoir quelque chose après avoir quitté son petit un rendez-vous, une course… Cela évite de se morfondre. Et puis aucun enfant ne pleure toute une matinée. » Des coups de blues… Bien sûr, le deuxième jour, quand ils arrivent, je lis parfois dans le regard de certains petits “Ah, elle est encore là, elle ?” Mais les coups de blues durent quinze jours, trois semaines ou… seulement quelques minutes. Je me souviens d’une maman pour qui c’était compliqué de laisser son enfant en pleurs le matin. Le soir, je lui ai montré une petite vidéo tournée avec mon portable de son enfant qui jouait, épanoui, dans la classe. Et je lui ai expliqué que c’était… dix minutes après son départ. Cela l’a rassurée. De toute façon, l’espace de la classe est conçu pour que les enfants y trouvent leur compte. Dans la mienne, il y a un petit toboggan, une bibliothèque, des jeux de construction par terre, des jeux de logique sur les tables… Ils évoluent dans un endroit fait pour eux. » Le rôle de l’école La petite section, c’est le temps où on devient élève et où on s’approprie l’école. Rester assis, ne pas taper l’autre, le supporter, apprendre à mettre son manteau… c’est découvrir le “savoir-être” avec les autres. Et puis en tant qu’enseignants, nous avons des attentes, on n’est pas là pour les “garder” ils apprennent à compter, à connaître les jours de la semaine, à reconnaître des lettres, à découper, à muscler leurs doigts avec la pâte à modeler… Mais il ne faut pas oublier que l’apprentissage est un temps long. Et qu’un enfant né à la fin de l’année ne peut pas avancer au même rythme que celui qui est né en janvier. Une chose est sûre avec les parents, nous sommes partenaires. Nous voulons tous que les choses se passent bien. Aussi, à la moindre question, il ne faut pas hésiter à venir nous voir. » Mélodie, Atsem Agent Territorial Spécialisé des Écoles Maternelles ATSEM, en Hauts-de-France Nous sommes là pour aider les enfants à gagner en autonomie. Nous intervenons comme soutien de l’enseignant, en matière d’hygiène, d’entretien des locaux et du matériel éducatif et, pour certaines d’entre nous, sur le temps périscolaire. Je dirais qu’avec l’enseignant, nous sommes le deuxième repère des petits. Une sorte de deuxième phare. Le rôle de l’enseignant est d’abord éducatif, le nôtre a une dimension plus affective. L’Atsem est là pour rassurer, mettre en confiance. Les enfants savent que c’est la même personne qui va les suivre tout au long de la journée. L’école est un petit cocon où ils se sentent protégés. » Respecter le rythme de chaque enfant Les premiers jours, beaucoup de parents s’inquiètent au sujet de la propreté. Il faut savoir qu’au début, on passe beaucoup de temps aux toilettes. Moi, je les emmène aux à la demande. Bien sûr, il peut y avoir des petits accidents, mais on s’en occupe ! La propreté est liée au rythme de chaque enfant, on le respecte. Pour les petits, le temps de la sieste est un autre moment important. Ils ont besoin de se poser, car la cantine est quand même un lieu assez bruyant. Dans le dortoir avec des petits lits, chacun des enfants a son emplacement réservé. Je mets un fond de musique classique et je m’assieds par terre à côté de ceux qui ont besoin d’une présence pour s’endormir. D’ailleurs, il ne faut pas que les parents hésitent à laisser un doudou. Au début, les petits en ont besoin, surtout pour la sieste, justement. Un autre conseil si les parents pouvaient éviter les chaussures à lacets… Quand on doit s’occuper de vingt-cinq enfants, ce n’est pas évident de devoir lacer vingt-cinq paires de chaussures ! La salopette n’est pas non plus le vêtement idéal ! En fait, nous, les Atsem, nous sommes un peu comme une deuxième maman, sur le temps scolaire. D’ailleurs, il n’est pas rare que des parents soient un peu “jaloux” de nous, parce qu’à la maison, leurs enfants parlent beaucoup de nous ! » Jean-Michel, directeur d’école maternelle En Hauts-de-France Le directeur est le premier lien entre les parents et l’école. Car après la préinscription en mairie, c’est lui qu’ils rencontrent lors de l’inscription dans l’établissement. Or, une rentrée, ça se prépare côté enfants, mais aussi côté parents ! L’année précédant la première rentrée, on peut passer devant l’école au moment de la sortie des classes, ou lors du carnaval par exemple. dessins qui sont affichés aux fenêtres… Autant de façons de susciter l’envie chez lui. Ensuite, le jour du rendez-vous avec le directeur ou la directrice pour l’inscription, il ne faut pas hésiter à poser toutes les questions qu’on a en tête. J’explique le fonctionnement de l’école, ce que l’enfant va y faire. C’est d’ailleurs bien que le petit soit là lors de cette rencontre. Chez nous, nous faisons aussi une demi-journée d’immersion en classe avant la rentrée. Cela aide l’enfant à se projeter. » Éviter de montrer son inquiétude Le jour J, c’est bien de venir à pied, histoire de ne pas être trop stressé par le problème de la voiture à garer. Mieux vaut donner la main à son enfant plutôt que de l’avoir dans les bras. La séparation sera moins compliquée ainsi. C’est mieux aussi quand le parent peut éviter de montrer son inquiétude et, surtout de mentir ! Cela m’arrive régulièrement d’entendre des parents me chuchoter “Bon, je ne lui ai pas dit qu’il restait déjeuner à la cantine ce midi…” Pourtant, c’est important que l’enfant sache ce qu’il en est de son emploi du temps ! Si on peut se libérer, c’est bien de pouvoir venir chercher son petit à la fin de cette première journée. Enfin, notre lien à l’école est conditionné par notre propre histoire. Si le parent critique l’école à la maison, le petit l’entend. Or cela marche dans les deux sens ce qui est fait à l’école doit être valorisé à la maison, ce qui est fait à la maison doit l’être à l’école. Le “cahier de vie” complété en classe, mais aussi avec les parents, est emblématique de cette relation bienveillante qui doit se mettre en place. Plus il y aura de confiance mutuelle, mieux cela se passera. » La rentrée sur Vous retrouverez tous nos dossiers La rentrée en maternelle en 10 questions-réponses, La vérité sur la récré… sur le site avec un onglet spécialement dédié à l’école maternelle, riche de conseils et d’infos. Côté enfants, de nombreuses activités sont disponibles, du yoga à la cuisine, en passant par le bricolage. Sans oublier les podcasts et Radio Pomme d’Api, la fameuse webradio chouchoute des petits. Des livres et un podcast pour aller plus loin • Maman à l’école d’Éric Veillé et Pauline Martin, Actes Sud Junior. Le jour de la rentrée, une petite fille refuse de laisser partir sa maman. Celle-ci va donc passer sa journée dans la classe… Une histoire drôle qui dédramatise l’entrée à l’école. • Je ne veux pas aller à l’école de Stephanie Blake, L’école des loisirs. Quand Simon, le lapin adoré des enfants, doit aller à l’école, c’est forcément toute une histoire… avec, comme toujours, beaucoup de rires et un brin d’impertinence. • L’émission Les Nouvelles Vagues sur France Culture. L’auteure Marie Desplechin y revisite la façon dont la rentrée scolaire est traitée au cinéma, de Miracle en Alabama à Matilda. Un bonheur d’écoute. “Les premiers jours décole”, supplément pour les parents du magazine Pomme d’Api n°667, septembre 2021. Texte Joséphine Lebard. Illustrations Lucia article a été également publié sur le site du magazine Pomme d’Api. Numéro de septembre, en vente en kiosque dès le 25 août.
A toi, Maman ou Papa au coeur en miettes de devoir laisser chaque matin ton petit ou ta petiote dans la classe effondrée, en proie aux larmes et au désarroi, je t'envoie tout mon courage et ma compassion de maman. Comme on dit chez moi enfin pas vraiment, mais c'est pas grave "been there, done that". En français je l'ai vécu aussi, et je compatis. Heureusement pour moi, cette deuxième rentrée se passe bien mieux que la première, et tout roule désormais, ou presque. La raison de cette acclimatation rapide ? Il y en a plusieurs je pense ! Tout d'abord, petit Hibou a grandi ! Et oui, lui qui n'avait pas encore 3 ans lorsqu'il a passé les portes de l'école pour la première fois… Il adésormais un an de plus et tout ce que ça implique en terme de "maturité" et de patience. C'est plus facile pour lui de mettre des mots sur ses maux. Il a aussi compris, l'expérience aidant, que les papas et les mamans reviennent toujours à la fin pour s'occuper de leurs enfants, même après la classe, et la cantine, et le centre de loisirs. Ce n'est pas grand chose, mais savoir que son enfant est plus grand, nous permet aussi à nous parents, de prendre un peu plus de recul. Tu me diras, si tu lis cet article alors que ton moutard vient de faire sa première rentrée; ça te fait une belle jambe de savoir que t'as plus qu'à attendre l'année prochaine ! En vrai, je vais quand même te donner 2-3 astuces que nous avons mises en place ici et qui cumulées et inlassablement répétées jour après jour ont été d'une grande aide. En petite section Avoir un sac avec Doudou et tétine si votre enfant à le droit, ça les rassure quand même vachement. Hibou ne les prenait pas en classe, mais il SAVAIT qu'ils étaient là, pas loin, si jamais. Se faire chacun un petit coeur sur la main avant de partir, et le remplir de bisous pour avoir de quoi affronter la journée qui commence. Le coeur s'est parfois transformé en chat, en tortue, en escargot. TOUT pour faire sourire mon petit Pipou. Fabriquer une jolie photo d'amour, comme on l'a appelée. Hibou a choisi avec moi une photo où nous étions tous les deux photo prise à la mater pour l'accouchement du Gluts, donc je te laisse imaginer ma gueule absolument fabuleuse mais passons, puis nous l'avons décorée avec des gommettes choisies par lui également. Au dos, j'ai fait des bisous au rouge à lèvres, dessiné une voiture à sa demande et écrit que je l'aime plu que tout au monde. Ensuite je l'ai plastifiée, j'ai fait deux trous et passé un cordon pour qu'il puisse la mettre autour du coup, comme un talisman, un bouclier. Qu'on ne me dise pas que les ficelles autour du coup sont interdites, dans sa classe, ils mettaient tous une étiquette autour du cou avec leur prénom en début d'année pour que la maîtresse se repère, alors FUCK. Promettre monts et merveilles, ou en langage honnête acheter son enfant. Oui, Hibou a reçu en cadeau son hélicptère Lego des pompiers trop mega top wahou, au bout de quelques demaines d'école, quand les séparations se sont adoucies et que nous avons souhaité saluer son courage et encourager sa détermination. Et puis des smarties à la sortie, et des Kinder aussi. Et tant pis pour ceux que ça défrisent d'offrir des récompenses aux gosses. Cette année, en moyenne section Plus de photo talisman, mais toujours tétine et doudou autorisés pour le temps calme. Pour autant, Hibou n'en ressent pas le besoin et ne souhaite plus emporter de doudou dans son sac. Il nous restait donc le rituel des coeurs sur le poignet ou sur la main. Hibou était très fier de me dessiner un "rond" pour que je pense à lui à mon travail. Et tu veux savoir le pire ? Il m'a fait du bien ce rond, qaund je l'ai regardé 1 milliard de fois au bureau, en me demandant comment se passait sa journée, s'il allait encore pleurer demain, et comme j'allais le serrer fort le soir. La frise du temps. Très angoissé par la cantine et en plein dans l'apprentissage des jours de la semaine à l'école, je me suis dit que faire un atelier frise du temps avec Hibou serait une bonne occasion de l'aider à se repérer et à comprendre que quoiqu'il arrive, il rentrerait toujours à la maison le soir. J'ai donc téléchargé des pictogrammes ici, nous les avons découpés et collés par ordre chronologique. Notre frise du temps est finalement un peu trop chargée la faute aux gommettes Flash McQueen que nous avons ajoutées ensuite ? et Hibou s'y perd, je prévois donc d'en refaire une BEAUCOUP plus simple dans quelques temps. Comme l'an dernier, j'ai aussi promis monts et merveilles, à savoir "le sac à dos de Flash MacQueen, que t'as vu Maman, il est en vraie forme de vraie voiture". Le sac tant convoité est arrivé chez nous par surprise, le tout premier jour où il n'a pas pleuré, comme par magie merci encore les copines d'ailleurs. Depuis, il représente une vraie fierté pour Hibou, celle d'avoir pu aller à l'école sans paniquer, le symbole de la confiance en soi. Mais ce qui nous a été, et est encore, surtout d'une très très grande aide, c'est… le caillou magique ! Un matin, Hibou a trouvé sur le che min de l'école un joli petit caillou qu'il m'a donné. Alors que j'étais en pleurs au travail, j'ai fait un coeur au marqueur dessus en me disant que je lui donnerai le soir, pour lui montrer que je pensais à lui toute la journée. Le lendemain, au moement de lui dire au revoir, je l'ai pris à part dans un coin de la classe. Je lui ai montré le caillou en lui disant "Tu te souviens de ce caillou ? Regarde, j'ai mis tout mon amour pour toi dedans. Toute la nuit, il est resté avec moi, il s'est rechargé en force et en courage." Hibou buvait mes paroles, entre deux sanglots. "C'est très important Hibou, écoute bien ce que je vais te dire. Ce caillou est magique, il te donnera toute la force et tout le courage dont tu as besoin pour aller à l'école et à la cantine aujourd'hui. Je vais le glisser dans ta poche, d'accord ? Mais atteention, c'est un secret de Maman, entre toi et moi. PERSONNE ne doit savoir, d'accord, personne. Ton caillou doit resté caché et invisible, sinon, il va perdre ses pouvoirs". Oh je te vois venir, si, si, je te rassure, moi aussi j'étais anti-pipeau pour les gosses. Et puis il y a eu l'école. Alors je raconte des fables à mon gamin, et je m'en fous, car ce matin-là, quand je suis partie, il n'était pas joyeux, mais il ne pleurait pas non plus. Quel soulagement !! Ce matin, en revanche, quand en passant la porte de la classe je me suis rendue compte que j'avais oublié le caillou, je ne te dis pas la douche froide… J'ai eu peur, très peur, de sa réaction. D'ailleurs, quand je lui ai dit que je ne l'avais pas, il s'st décomposé. Par chance, on avait ramassé des marrons sur le chemin, j'ai donc fait un coeur dessus, et mis tout mon amour dedans, là, au fond de sa poche. Une copine est arrivée, et j'ai pu partir sans trop de difficultés. Gloire au caillou. Je précise que c'est le cumul et la répétition de toutes ces petites choses qui ont, je pense, aidé Hibou jour après jour. Certains trouveront ça ridicule, ou penseront que c'est donner de mauvaise habitudes que de ritualiser au maxium les choses. Mais je peux vous dire qu'ici c'est ce qui nous a aidés, et qui fait qu'on respire tous les deux maintenant. Enfin, je concluerai par un constat des plus banals mais sachez qu'avec tous les bouleversements qu'engendrent l'entrée à l'école, votre enfant a besoin de VOUS plus que jamais. Alors s'il veut se coucher un peu plus tard pour rester avec vous le soir, s'il veut que vous lui racontiez une autre histoire, s'il veut s'endormir dans vos bras ou dans votre lit, s'il a besoin de passer une ou deux nuits avec vous, ne dites pas non. Pensez-y et dites-vous que vous êtes le socle de son existence, les fondations d'où il sélève et qu'il finira un jour par quitter, quand il sera prêt et qu'il pourra à son tour construire quelque chose qui lui ressemble. L'enfance ne dure qu'un temps.
chouette c est la rentrée pleure pas maman